Il en conclut que la rêverie du spectateur devant le réel profilmique participerait du plaisir du cinéma « y compris dans les films d’effets spéciaux d’autrefois (à quelle taille a été construite la maquette de ce vaisseau spatial ?) » et qu’on « peut penser que la performance capture est une nouvelle forme qu[e la rêverie] vient de prendre » (ibid., p. 71).