C’est du moins ce que nous croyons, bien que la chose reste encore à vérifier. Nous avons trouvé un exemple a contrario (« Le “cinéma” […] est mort. Que s’est-il passé ? ») dans un ouvrage de Roger Boussinot (Le cinéma est mort. Vive le cinéma!, Paris, Denoël, 1967, p. 44) et un autre, où c’est l’expression « le cinéma » au complet qui apparaît entre guillemets, chez Bazin (« Peut-être “le cinéma” n’était-il en fait qu’un stade de la vaste évolution des moyens de reproduction mécaniques […] »), dans « Le cinéma est-il mortel ? », L’Observateur politique, économique et littéraire, no 170, 13 août 1953, p. 24 (article repris dans Trafic, no 50, été 2004, p. 246-260).